Syndicat National des Radios Libres
Financement des radios

FSER 2014 : levée du gel de 7% / FSER 2015 : + 200 000€


Vendredi 28 Novembre 2014 - 15:26

Fruit d'un travail de conviction de longue haleine mené jour après jour par l'équipe du SNRL, le Congrès de Paris - SNRL 2014 aura été l'occasion pour le ministère de la Culture et de la Communication d'officialiser plusieurs annonces rassurantes pour le secteur non-marchand de la radiodiffusion associative.


Dans le cadre de notre 10ème congrès national, Laurence Franceschini, Directeur Général de la Direction Générale des Médias et des Industries Culturelles (DGMIC) est intervenue au nom de la ministre Fleur Pellerin afin d'officialiser deux positions rassurantes prises par le gouvernement en cette fin d'année 2014 :
 
  • la levée du gel de 7% menaçant l'enveloppe globale du FSER sur l'année 2014 ;
  • l'augmentation du budget 2015 du FSER de 200 000 € pour un retour à 29 millions d'euros, tel qu'en 2013.
 
C'est le fruit d'un travail journalier tant auprès des ministères concernés, que des nombreux parlementaires et élus locaux qui soutiennent nos radios et qui sont prêts à se mobiliser à nos côtés pour défendre un financement public prépondérant pour nos radios d'intérêt général.
 

E. Boutterin et L. Franceschini (DGMIC)
E. Boutterin et L. Franceschini (DGMIC)

Une méthodologie éprouvée : être force de proposition

Si ces nouvelles sont rassurantes quant aux intentions du ministère de la culture et du gouvernement en direction de la radiodiffusion associative non-commerciale, elles ne doivent pas nous empêcher de continuer notre travail pro-actif en faveur de nouvelles ressources pour répondre aux défis de demain.

Une méthodologie éprouvée : vous le savez, à la posture statique d'indignation automatique, nous privilégions celle de l'action et de la proposition systématique. C'est en ce sens que vous pouvez compter sur toute l'équipe du syndicat pour défendre vos intérêts au quotidien.

Ainsi, il n'est intéressant pour personne de bloquer le développement des radios de catégorie A au prétexte d'un manque de financement, mieux vaut être dans la construction permanente de solutions innovantes, telle que celle évoquée pour la première fois publiquement pour le financement éventuel de la double-diffusion FM/RNT.